THIS IS POP
Dans l’impasse de la fameuse « rue de la soif », confinée au déjà bien connu « 29 », ouverture fracassante avec le tonitruant « Control ». Le trio parisien rappelle aux plus nostalgiques de la salle l’épopée hallucinée du mythique « groupe de sa majesté » Joy Division.
Avec ses airs de Ian Curtis, le claviériste, un brin lazy, ne cesse de rallumer la salle,et entre deux accords, ses cigarettes. Tandis que le groupe enchaîne sur « We play you come », les filles se bousculent devant la scène.
Derrière la salle commence à s’agiter dans une ambiance très sueur, rock, et brushings qui décoiffent. La chanteuse, plutôt sensuelle, à l’onde technotonik fait surfer l’assemblée plutôt bigarrée sur des vagues 80’s.
D’une gestuelle très orchestrée, elle balaie la salle d’un air très « I love rien I’m parisien », qui confine à la nonchalance.
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