HIFIKLUB

Posons le décor : un bassiste chanteur aux escarpins vernis, un guitariste au poitrail tatoué et un batteur à casquette de teuffeur. Résultat : un trio déchaîné qui réussit à allier gros rock nerveux et morceaux plus sensuels grâce à la voix envoûtante de Laugier. La guitare hurle et part dans des distorsions de folie, grâce à un nombre incroyable de pédales. Du côté du public, les spectateurs en redemandent...

Et même s'ils manquent peut-être parfois d'originalité, Hifiklub sait tout de même nous en mettre plein les portugaises. L'expérience n'est pas aussi folle que The Dead Sexy, mais reste un bon souvenir de concert, au carefour de multiples références, dans un 1929 toujours autant "bière".

Sueur et Rock 'n Roll dans le public. Les pieds battent le rythme et les oreilles sifflent en sortant !

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